Nouveau :
Cette version intègre le nouveau barème des tarifs "Leclercq Guessing Game" récemment
développé à l'Université de Liège par l'équipe du professeur D.Leclercq.
Cette nouvelle procédure de notation des QCM accompagnées de degrés de certitude
est une évolution des techniques précédemment recommandées.
Sa mise en oeuvre particulièrement simple facilite son acceptation par les étudiants.
Le logiciel a été recompilé et comporte désormais un couvel
éditeur de questions (format RTF) pour résoudre les problèmes d'instabilité rencontrés avec certaines configurations de Windows.
(Note : Sous Windows XP, le logiciel fonctionne mieux en mode Win98)
Il est possible d'importer les données "élèves" à partir des systèmes PROSEC et PROECO utilisé dans les secrétariats scolaires.
Construit au départ comme un simple gestionnaire de questions à choix multiple (QCM) pour tous usages didactiques (exercices d'auto-évaluation, interrogations, etc.), il s'est vu adjoindre au cours du temps de nombreuses autres fonctions qui le rendent apte aujourd'hui à prendre en charge la plupart des tâches fastidieuses du métier d'enseignant.
Il peut en effet :
La version "École" de DidaKit est capable de gérer les données didactiques de plusieurs professeurs travaillant au sein d'un même établissement scolaire. (Chacun d'eux dispose alors de son espace réservé dans la base de données). Les notes de ces professeurs se trouvant ainsi centralisées, le logiciel peut imprimer automatiquement à destination des élèves des bulletins reprenant l'ensemble des branches enseignées. Ces bulletins peuvent comporter des commentaires à plusieurs niveaux.
La "banque" de questions gérée par DidaKit (4000 questions sont fournies avec le logiciel) est dorénavant hiérachisée suivant les domaines de connaissances de la Classification Décimale Universelle (CDU). Ce système de classement est largement utilisé par les documentalistes et bibliothécaires dans de nombreux pays. Il est formé d'un ensemble de classes qui se subdivisent en dix sous-classes, chacune d'entre elles se subdivisant à son tour, et ainsi de suite. On obtient ainsi une hiérarchie standardisée des connaissances humaines, qui part du général pour arriver au particulier. Ainsi par exemple, on trouvera dans la classe 5: sciences exactes, dans la sous-classe 53: physique, laquelle contiendra elle-même (et entre autres) la sous-sous-classe 536: chaleur, celle-ci contenant la rubrique 5366: calorimétrie, etc.
Un grande nouveauté de cette nouvelle version est l'incorporation au logiciel d'un vrai système de traitement de textes pour la rédaction des questions. Il est dorénavant possible d'utiliser n'importe quelle police de caractères présente dans l'ordinateur, d'écrire en gras, en différentes tailles, et même en couleurs. Le module de traitement de texte est capable d'importer lui-même des "objets" suivant la technologie OLE. Cela signifie que vous pouvez désormais incorporer à vos questions des images vectorielles ou bitmap provenant d'un autre logiciel, des équations en provenance d'un éditeur d'équations tel celui de Microsoft Office, des tableaux provenant d'un tableur, etc.
Tout cela est donc possible, mais peut entraîner des problèmes de manque de place ou de gaspillage de papier lors de l'impression des interros. Aussi nous avons prévu un système générateur de documents annexes qui permet d'imprimer sur feuille séparée les figures ou tableaux volumineux accompagnant certaines questions. Ces documents annexes pourront ainsi servir de nombreuses fois sans devoir être réimprimés à chaque interro.
Les formats acceptés pour les figures sont : PCX, BMP, GIF, JPG et WMF.
Comme dans QCM6, il est prévu d'associer à chaque question un commentaire de correction, lequel sera notamment utilisé avec le système ACQC dans les modules exerciseurs générés par le système, et aussi lors de la production de corrigés détaillés pour les interros.
L'algorithme de correction des interros intègre plusieurs variantes, dont les nouveaux "barèmes de tarifs" préconisés par Eurotecnet et le service de Technologie de l'Education de l'Université de Liège (Prof. D.Leclercq) en ce qui concerne l'utilisation de degrés de certitude.
Avec la correction de son travail, l'élève reçoit un indice de cohérence et un indice de réalisme se rapportant à l'auto-évaluation qu'il a dû effectuer pour choisir ses degrés de certitude.
Lors de la correction, DidaKit signale au professeur les questions que réussissent trop peu d'élèves. Ces questions peuvent alors éventuellement être écartées.
Le suivi des élèves est individualisé. DidaKit peut imprimer des bulletins détaillés fournissant à chaque élève une analyse fine de son comportement d'apprentissage à l'aide de l'outil QCM, appuyée par les commentaires de son professeur. Celui-ci peut en effet définir une réserve de commentaires types qu'il ajoute au bulletin à l'aide d'un simple clic de souris, en fonction des situations rencontrées.
Nous croyons que les QCM constituent un outil didactique essentiel, appelé à prendre de plus en plus d'importance dans les années qui viennent, d'une part parce que le besoin de techniques pédagogiques individualisées se fait sentir davantage de jour en jour, et d'autre part parce que la disponibilité des nouvelles technologies le permet.
Les QCM sont particulièrement bien adaptées, autant à l'apprentissage (assisté par ordinateur ou non) qu'à l'évaluation de connaissances acquises. Leurs potentialités sont gigantesques et commencent à être reconnues : Les professeurs qui s'efforcent de rédiger eux-mêmes des QCM constatent que leur propre connaissance de la matière enseignée s'approfondit - ainsi d'ailleurs que leur contrôle de la manière de l'enseigner. En outre, le fait pour différents enseignants de partager une banque de QCM commune stimule l'émergence d'une véritable discussion pédagogique entre eux (concernant par exemple la validité des questions, la pertinence de tel ou tel distracteur, la correction du langage, etc.).
Les élèves qui sont fréquemment amenés à fournir un degré de certitude avec chacune de leurs réponses apprennent petit à petit à s'auto-évaluer correctement et à prendre leurs responsabilités en bonne connaissance de cause. La relation enseignant-enseigné s'améliore, du fait de la clarification des exigences posées, ainsi que du caractère automatique de la cotation reçue (le professeur étant dès lors davantage perçu comme un instructeur que comme un juge).
Tout ceci suppose la disponibilité d'une réserve importante de questions, ainsi que d'outils permettant de les gérer efficacement et avec un maximum de facilité.
C'est cela que nous vous proposons avec DidaKit, qui vous est livré d'emblée avec un stock initial d'environ 4000 questions.
Parmi les services mis à votre disposition sur ce serveur, vous trouverez - au fur et à mesure de leur collecte et de leur tri - des mises à jour de questions existantes, des nouvelles questions complémentaires ainsi que les figures et documents s'y rapportant. Inforef a donc l'intention de développer ainsi au bénéfice des enseignants le premier service de centralisation et d'échange de questions à choix multiple multi-usages.
Comme son prédécesseur, DidaKit prend en charge également la gestion dynamique du journal de classe. Cet outil permet au professeur de planifier à longue échéance l'organisation de ses leçons, en répartissant automatiquement les matières prévues dans le calendrier des heures de cours disponibles pour l'année scolaire courante.
Toutes les questions produites précédemment sous QCM6 peuvent bien évidemment être récupérées et améliorées, de même que les matières des anciens journaux de classe.
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